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  • Évitez la condensation sur les fenêtres

    Évitez la condensation sur les fenêtres

  • Ressources

    http://www.rncan.gc.ca/energie/produits/categories/fenetrage/18940

    https://www.cmhc-schl.gc.ca/fr/co/love/aihuprso/aihuprso_002.cfm

     

    Savez-vous d’où viens l’humidité ?
    L’air contient toujours un certain degré d’humidité, même l’air intérieur. L’humidité intérieure provient de la respiration, des plantes, de plusieurs produits et d’activités domestiques, comme
    votre système de chauffage, les humidificateurs, la cuisson et les douches. En fait, toute activité qui nécessite de l’eau, même le lavage des planchers, contribue à l’humidité dans l’air. Une habitation de 3-4 personnes génère ainsi quotidiennement plusieurs litres d’eau. Le climat peut aussi contribuer à la condensation. La condensation est plus susceptible de survenir dans les
    maisons où les températures de janvier descendent sous les 0ºC parce que l’écart entre les températures qui touchent les vitres de la maison est beaucoup plus grand. C’est normal qu’il y ait de la condensation au début de chaque saison de chauffage. Lors des mois humides de l’été, votre maison absorbe l’humidité et transpire ensuite lorsque vous commencez à chauffer. Ce
    n’est toutefois qu’une situation temporaire; après les premières semaines de chauffage, votre maison devrait s’assécher ce qui, à défaut de l’éliminer, réduira la condensation. Vous remarquerez le même scénario si vous avez fait quelques rénovations ou de la construction. À cause des hauts niveaux d’humidité que dégagent le bois, le plâtre et les autres matériaux de construction, votre maison transpirera durant les premières semaines de la saison de chauffage.
    Un autre facteur dans l’équation de la condensation, c’est le progrès. Avec les matériaux isolants et étanches à l’humidité  à haut rendement et la construction étanche que nous avons aujourd’hui, nous pouvons tous profiter d’une maison plus efficace thermiquement qui empêche le froid d’entrer, mais qui emprisonne l’humidité, produisant ainsi des niveaux d’humidité plus élevés et plus de condensation.


    Comment se forme la condensation ?
    La condensation sur les fenêtres est causée par un excès d’humidité ou de vapeur d’eau dans la maison. Lorsque la vapeur d’eau dans l’air entre en contact avec une surface froide comme un miroir ou une vitre de fenêtre, elle se transforme en gouttelettes d’eau appelées condensation.
    Toutes les maisons présentent occasionnellement des signes de condensation, comme une  légère buée sur les fenêtres, mais ce n’est pas une source de problèmes. D’un autre côté, une condensation excessive sur les fenêtres, du givre, de la peinture qui pèle, ou encore des taches d’humidité sur les plafonds et les murs peuvent être des symptômes de condensation excessive et d’éventuels problèmes qui endommageront votre maison. Nous avons tendance à remarquer la condensation sur les fenêtres et les miroirs en premier parce que la moisissure ne pénètre pas ces surfaces. Cette condensation n’est pas encore un problème, il s’agit simplement d’un
    indicateur que vous devez réduire l’humidité intérieure de votre maison.


    Le problème ne provient pas de vos fenêtres
    Vous vous demandez peut-être pourquoi vos nouvelles fenêtres de remplacement éco- énergétiques montrent plus de condensation que vos anciennes fenêtres qui laissaient entrer les courants d’air. C’est simple, vos vieilles fenêtres n’étaient pas étanches à l’air et permettaient à l’humidité de s’échapper. Maintenant que vos nouvelles fenêtres offrent une fermeture plus
    étanche, l’humidité supplémentaire dans votre maison ne peut s’échapper; par conséquent, vous percevez davantage l’humidité excessive. Les fenêtres ne causent  pas la condensation; elles empêchent plutôt l’humidité de s’échapper et offrent une surface où la condensation peut facilement se former. Ce phénomène ne constitue pas un défaut mais plutôt la preuve de la bonne isolation du vitrage.

    Réduire l’humidité dans votre maison
    La meilleure façon de réduire la condensation est d’éliminer l’humidité excessive. Le tableau suivant montre les niveaux d’humidité recommandés et confortables durant les  mois d’hiver.

     

    (L’humidité intérieure peut être mesurée avec un humidistat ou un psychromètre que l'on retrouve dans la plupart des quincailleries)

    En éliminant l’humidité excessive dans  votre maison, vous pouvez très bien éliminer la plupart sinon tous les problèmes de condensation.

    Voici  quelques trucs et conseils

    • À chaque automne, enlevez vos moustiquaires dans vos fenêtres. La circulation de l’air sera beaucoup plus efficace près du vitrage et préviendra ainsi la condensation.
    • Si vous avez des toiles, des rideaux, des tentures ou des stores, ouvrez-les régulièrement.
    • L’air chaud de votre sécheuse doit être évacué à l’extérieur.
    • Lors de la préparation des repas, faites fonctionner la hotte de la cuisinière.
    • Lorsque vous prenez un bain ou une douche, faites fonctionner le ventilateur et/ou ouvrez la porte de la salle de bain.
    • Aérez votre maison périodiquement. L’ouverture des fenêtres, pendant quelques minutes seulement par jour, permet à l’air vicié et à l’air humide de s’échapper et à l’air sec frais d’entrer sans nuire à votre chauffage.
    • Assurez-vous que toutes les sources de ventilation vers l’extérieur sont fonctionnelles et utilisez ces ventilateurs pendant et après les activités qui produisent de l’humidité pour éliminer l’humidité excessive.
    • Utilisez un déshumidificateur au sous-sol l’automne, le printemps et l’été.
    • En hiver, utiliser le tableau pour régler correctement votre échangeur d’air ou l’humidificateur et équilibrer le niveau d’humidité dans votre maison.
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  • Qu’est-ce qu’un bris thermique ?

    Qu’est-ce qu’un bris thermique ?

  • Source: http://www.cstc.be/homepage/index.cfm?cat=publications&sub=bbri-contact&pag=Contact36&art=557

    Les bris par choc thermique résultent de contraintes générées par un gradient de température entre deux zones contiguës d'une même feuille de verre. Ce gradient peut, par exemple, s'établir entre les parties visibles et les parties en feuillure d'un vitrage, ou entre une partie de vitrage exposée aux rayons du soleil et une zone ombragée.

    Sous l'effet de l'ensoleillement, un vitrage s'échauffe d'autant plus que son absorption énergétique est élevée. Si une partie du vitrage reste froide, elle empêche la partie chaude de se dilater librement, générant ainsi des contraintes de compression et de traction respectivement dans les parties chaude et froide du vitrage. Le verre étant moins résistant en traction qu'en compression, les contraintes de traction générées sont susceptibles de dépasser la contrainte de rupture du verre et de provoquer le bris du vitrage. C'est ce que l'on appelle une casse thermique.

    Celle-ci apparaît au bord du vitrage et se caractérise par un plan de rupture perpendiculaire au bord et aux deux faces du vitrage. La fracture peut être monofilaire ou multifilaire (voir image).

              

     

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